Offrez à vos employés une expérience unique de divertissement avec nos spectacles musicaux!
Voir nos artistes Contactez-nous
En lisant cet article, vous devez absolument douter de chacune de mes affirmations. Ne croyez pas un mot de ce que vous allez lire. Bref, méfiez-vous de ce texte et de son contenu.
Avec ce questionnement, vous êtes probablement en train de plisser vos yeux ou bien même de vous toucher le bout du nez ou encore de vous gratter la tête.
Pour ceux qui savent lire et interpréter les gestes et attitudes, le langage corporel fait de toute personne un véritable livre ouvert. Se tapoter le nez est un geste inconscient lié à la fable de Pinocchio, ce petit garçon de bois dont le nez s’allongeait chaque fois qu’il mentait. Vous êtes-vous déjà posé la question : « pourquoi est ce son nez qui s’allonge et non pas son oreille droite ou son pouce gauche? Pourquoi ses yeux ne s’agrandissent t-ils pas comme des ballons ? » Et bien non, de tous les membres de son corps, c’était effectivement son nez. Il y a une raison à cela : selon des études, c’est parce que les vaisseaux sanguins les plus sensibles du corps humain se trouvent autour de chaque narine — chaque fois que la température du corps passe brusquement du chaud au froid, vous remarquerez que votre nez est le tout premier membre du corps à signifier clairement que la température est maintenant froide. Il devient rouge, n’est-ce pas! Si vous faites de la fièvre, le nez enverra rapidement un message muet vous indiquant qu’il commence à faire chaud à l’intérieur! Votre nez commencera à couler.
Vérité ou mensonge?
Le nez est un point très délicat du corps qui amplifie tout changement sensible du comportement. Lorsque nous mentons, nous craignons intérieurement de nous faire prendre, comme Pinocchio. Une personne qui se touche le bout du nez juste avant de parler s’apprête à dire une chose qui s’éloigne très souvent de la vérité. Comme Pinocchio nous savons quand nous mentons, nous avons peur que notre nez s’allonge et nous essayons de le retenir avec nos doigts.
Par exemple, votre meilleur ami vient d’acquérir une toile abstraite de vingt mille dollars et il est absolument fou de joie lorsqu’il vous la montre pour la première fois. Il se bombe le torse pour dominer et montrer toute son importance et sa fierté, puis il vous demande ce que vous pensez de sa nouvelle acquisition.
Présumons que vous n’êtes pas un adepte du peintre ni de la peinture abstraite. Vous êtes plutôt d’avis que votre ami s’est fait détrousser de vingt mille dollars par la galerie d’art ! Je soupçonne cependant que vous feriez ce geste : vous vous toucheriez le bout du nez et avec un petit sourire timide vous diriez : « Magnifiques couleurs! On doit admettre que le style est vraiment unique ! Je comprends votre fierté.»
Supprimer de l’information
Oui, nous avons tous un bouton «supprimer». Restez à l’affût de toute personne se plaçant une main devant elle en se frottant le visage comme si elle le nettoyait – cette personne (espérons que ce n’est pas l’un de vos employés clés) est en train d’effacer tout ce que vous venez de dire. Vous pensez peut-être avoir eu une excellente rencontre , mais si un participant donne un petit coup de nettoyage sur la table au moment de quitter, vous pouvez parier que la discussion n’a jamais eu lieu. Cette personne vient juste de supprimer la conversation de son fichier. Partie ! Évaporée ! Brosser un objet imaginaire correspond à brosser une attaque personnelle ou à supprimer un élément d’information.
J’espère que vous ne doutez pas de ce que vous venez de lire. En ce qui me concerne, je n’ai rien contre les sceptiques. J’en faisais moi-même partie jusqu’à ce que je commence
réellement à observer et à étudier le langage corporel. Tout ce que vous avez à faire pour comprendre clairement un message est de vous assurer que les mots correspondent aux gestes comme une symphonie. Si vous remarquez que le ton et les gestes ne sont pas en parfaite harmonie, doutez des mots, un message sans geste est comme un corps sans âme. Et voici le meilleur conseil — prenez garde, car il y a toujours quelqu’un qui vous observe.
